Que n'a-t-on glosé sur les raffarinades... Comme celle-ci : « Notre route est droite, mais la pente est forte. »
Pourtant ce type de formule est assez banal outre-Atlantique et d'ailleurs un candidat heureux aux présidentielles US a lors de son discours de victoire prononcé les mots suivants :
« The road ahead will be long. Our climb will be steep. »
ça ne s'invente pas.
Et pourtant, point de ricanement cette fois-ci mais au contraire des mines rayonnantes d'admiration, à croire que le ridicule n'est en fin de compte pas dans le fond du texte mais dans la tête de l'auteur. Il est vrai qu'entre Obama et Raffarin, il n'y a pas photo niveau charisme.
Surprise
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Oh, une lettre des impôts ! Ah je n’aime pas ça, pas du tout… J’ouvre… Quoi
? Ils sont tombés sur la tête, ils m’octroient un dégrèvement de 9 euros au
t...
Il y a 1 mois
1 commentaire:
Il faut reconnaitre tout de même que, de manière générale, le style de discours des hommes politiques français et américains est assez dissemblable : dans le premier cas, ils aiment beaucoup les concepts abstraits et les envolée lyriques, dans le second, ils sont plus adeptes du terre-à-terre avec exemples concrets.
Ce qui fait qu'une sortie de Raffarin de ce type tranchait avant le discours politique habituel français, alors que ce n'est pas le cas pour Obama. Mais, à part ça, d'accord sur ta conclusion.
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